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Bienvenu Dame Apolie.

Petitrusse retourne a son bureau de commisaire au commerce de Clermont pour rédiger sa candidature à la mairie de Clermont.

Grrmmbbbl, chuis encore à la bourre tiens, pas comme ça que je vais bien me faire voir..


Bonjour et ..bienvenue !!

La jeune fille sourit et hausse les épaules

Alors de une, c'est Apolonie et pas Apolie (apolie ? non polie ?) Et ensuite pas de retard pas de souci !

J'attends toujours mon jus d'orange ^^

Bienvenue à la Fondation Apolonie !

Tu vois Tiresias, j'ai aussi pas mal de retard (mais moi, c'est parceque je travaille )

Apolonie prend sa coupe, la lève et sourit

Au BA, à la Fondation, et à Bourbon aussi un peu ...

Oups sorry.

Bonjour à tous, membres de la Fondation,

Permettez-moi de formuler ma demande d'adhésion à votre parti. Intéressé à prendre une part plus active à la vie politique en général, et de notre duché en particulier, je recherche la possibilité de débattre des idées, et le cas échéant, de proposer les miennes.
Ne doutant pas de l'équitable attention que vous daignez porter à chaque demande, recevez, mes dames, messires, mes salutations les plus sincères.

Etolus,
habitant de Bourbon

Bonsoir et bienvenue à vous, Etolus !

Nous avons eu la possibilité de travailler ensemble sur un projet à Bourbon, vous êtes cultivé, motivé et travailleur, vous me semblez donc quelqu'un de parfaitement digne à entrer dans la Fondation. Cependant ce n'est pas à moi de décider de votre entrée ici.

En attendant je vous propose un petit rafraîchissement. Jus d'orange frelaté ?

Bienvenu Messire

Malgrè la présence de personnes qu'il commence à connaitre, Etolus n'est pas encore tout à fait à l'aise en ces lieux. Il accepte avec timidité le verre que lui propose messire Yorn; il ne peut cependant boire.
Puis, une personne qu'il reconnait pour l'avoir souvent aperçu sur la Gargotte s'adresse à lui.
Avec l'humilté toute aristotélicienne que lui a donné l'étude et la méditation quotidienne, aussi bien sur le sacré que le profane, il salue le nouvel arrivant:

- Votre Eminence. Bien le bonsoir

Melkio arriva dans le hall de la Fondation. Il y régnait une certaine agitation, de celle que l'on apprécie. Celle de réception d'un hôte.

Le bonsoir Messire. Je me présente, Melkio. Votre candidature est examinée par nos dirigeants, avec grand intérêt.

Le Duc sourit, pour détendre un peu le jeune homme, visiblement peu à l'aise, ce qu'il comprenait aisément. Il se rappelait de sa venue, il y a déjà quelques temps...

Bienvenue à la Fondation Etolus ! !

Les arrivées se succédaient. Etolus ne savait où donner de la tête. L'amabilité de toutes ces personnes le mettait à l'aise.

- Bonsoir Messires, répondit-il simplement.

Sophonxe, arrrivant dans les locaux de la Fondation, remarqua un attroupement devant l'entrée. Un homme, inconnu de l'abbesse se trouvait au milieu, un verre de jus d'orange à la main.

**sans doute une nouvelle recrue...**

"Bien le bonjour Messire" lui adressa-t-elle avec un sourire avant d'entrer dans le bâtiment où elle avait à faire...

Etolus, maintenant parfaitement à son aise, trouvait décidemment, ce lieu plein de vie: la grande porte de l'entrée ne se lassait de s'ouvrir, et chaque nouvel arrivant avait la courtoisie de le saluer.

- Bonjour Messire (hop! un coup de se côté là)

Puis, se tournant un peu pour faire face au nouvel arrivant, visiblement pressée par quelque affaire:

- Bonjour ma Dame (hop! un coup de côté là ausi).

Il ne cessait de sourire et de répondre aux salutations.

Attiré par le bruit d'un attroupement et une odeur de jus d'orange, Tiresias vit un homme qu'il n'avait jusque là jamais vu. "Sans doute un futur Fondu..." pensa-t-il.

Bonjour messire, bienvenue à vous !

Le visage et le nom du dernier arrivé séduisait Etolus. Il l'avait rencontré ce patronyme dans bien des histoires, parmi les longues heures qu'il consacrait quotidiennement à la lecture.

-Bonsoir messire, dit-il dans un sourire posé.

Etolus reconnu une précédente duchesse du Bourbonnais-Auvergne s’avançant vers lui. Et voici la réponse qu'il lui fit:

- Bonsoir, noble Dame. Votre curiosité est tout à fait naturelle. Oserais-je dire que je m’attendais devoir répondre plus tôt à cette question ? Quoiqu’il en soit, mes motivations ont été de plusieurs sortes, si vous m’en croyez.

Il est certain que la renommé et l’importance de certaines personnalités de la Fondation dans la vie du duché a été d’un grand attrait. Je pense à son Eminence Dame Ivrel, par exemple, qui a baptisé une de mes proches amies, et qui m’en a dit beaucoup de bien. Au niveau local, il ne m’est possible qu’avec justesse de constater le bon travail qu’à pu réaliser Messire Yorn, lorsqu’il était à la mairie ; et bien qu’il n’occupe plus ce poste à l’heure actuelle, il n’en reste pas moins un des habitants les plus actifs au cœur de Bourbon, n’hésitant pas à faire ses propositions au conseil municipal. Aussi, la perspective de collaborer avec des membres aussi affairés de notre communauté dont l’activité est admirable, me laisse à penser que la Fondation doit être un lieu de réflexions, mais aussi d’actions, propice à développer mes idées et à les faire partager.

Mais ces raisons, importantes vous en conviendrez, ne sauraient être essentielles. Si je devais procéder par discrimination, ce qu’il m’a bien fallu faire, je commencerais par la Confrérie de la Source. Ce parti est encore bien jeune, et inexpérimenté des affaires ducales ; mais surtout, il me semble, et nous en parlions tantôt avec Yorn, qu’un jeune parti a souvent pour objectif d’assouvir les ambitions. Pardonnez mon parler sincère ; il n’est pas dans mon intention de viser quiconque – il ne m’est pas donné de connaitre personnellement aucun de ses membres. Mais il est bien difficile, lorsqu’un mouvement politique nait, de s’entourer uniquement de gens compétents, et non d’ambitieux.

Alors pourquoi pas un parti historique, me direz-vous, comme le B.A.R. ou l’U.N.I.T., où de mes plus proches amies s’investissent ? Et pourquoi choisir la Fondation, contre l’avis, naturellement, de ces mêmes relations ? Il faut avouer que j’aurais du mieux préparer la question il y a deux mois, lors des précédentes élections, alors que les programmes étaient encore affichés : pour le moment, ils ne le sont pas tous encore affiché, dit-il dans un sourire avant de poursuivre ; ce fut à ce moment là que pour première fois, je faisais part à quelqu’un, Dame Apolonie en l’occurrence, et elle s’en souvient, me semble-t-il, de mon envie de participer à la vie politique en rejoignant un parti. Et la comparaison des programmes pour les élections ducales me faisait balancer pour la Fondation, notamment sur les questions judiciaires.

D’un point de vue purement linguistique, il me semble encore possible de préciser que j’aime l’idée des fondations. Car si les fondations d’un maison (en l’occurrence de notre duché) sont mauvaises, la base et la structure de l’édifice ne sauraient tenir. L’union entre Bourbonnais-Auvergnat ne saurait se bâtir sur de mauvaises fondations. Le parti auquel vous appartenez me semble le plus amène à creuser et poser ces solides fondations.

Pour ce qui est de ma motivation, comme je l’ai dis en faisant ma demande, la réflexion, la lecture, la méditation forment l’essentiel de mes journées, dès que mes activités agricoles et artisanales me le permettent. Venant il y a peu, de m’engager dans la voie de la médecine, il me semble important de m’engager plus avant dans la vie de la communauté qui m’accueille, ce que je tente déjà de faire, en ayant la prétention de ranimé Le Petit Bourbon, notre journal local, affirma-t-il avec un coup d’œil brillant à Dame Apolonie et Sieur Yorn. Il me semble également honnête d’affirmer et de préciser que l’ambition personnelle ne me motive point. Beaucoup doivent dire cela, cependant, la volonté de débattre, de réfléchir sur de nouveaux sujets me paraissent primordiale, et s’accordant parfaitement avec mon caractère, plutôt posé, calme, patient et tolérant.

Non que je n’aie que des qualités, lança-t-il dans un éclat de rire, mais je vous laisse le loisir de découvrir mes défauts ! J’espère que cela répond à votre question, ma Dame.

Etolus se tut enfin, disant qu’il avait sans doute trop parlé, et vida enfin d’un trait son verre de jus d’orange.

Jrag s'arreta un instant, savourant son jus d'orange et digérant les paroles d'Etolus..

Fichtre, il a la langue bien pendu, le p'tit gars !

En tout cas, ca sonne plutot bien a mes oreilles...

Il repporta son verre a ses lèvres en songeant encores a ces propos...